TR : [TERRA-Quotidien] PÉTITION : Mobilisation pour la libération de la recherche "MLIBR", oct. 2008

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Sat Oct 4 09:33:34 UTC 2008




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De : Jerome Valluy <jerome.valluy at univ-paris1.fr>
Société : http://terra.rezo.net
Date : Fri, 03 Oct 2008 14:16:08 +0200
À : TERRA <terra at cines.fr>
Objet : [TERRA-Quotidien] PÉTITION : Mobilisation pour la libération de la
recherch "MLIBR", oct. 2008

Site de MLIBR : http://www.mlibr.org

 Signer la pétition
<http://www.mlibr.org/petition/index.php?petition=2&signe=oui>    -
Voir les signataires
<http://www.mlibr.org/petition/index.php?petition=2&pour_voir=oui>



 

Depuis plus d’un an désormais, une nouvelle instance non élue s’est invitée
à l’université et dans la recherche. Depuis plus d’un an, l’espace de ces
nouveaux « partenaires », l’Agence d’Évaluation de la Recherche et de
l’Enseignement Supérieur (AERES) et l’Agence Nationale de la Recherche
(ANR), n’a cessé de s’étendre, doucement, sûrement : ce nouveau système
administratif et idéologique impose désormais aux chercheurs et aux
enseignants-chercheurs des « listes de bonne recherche » (de bonne conduite
?). Évaluer, trier, éliminer, telle est la politique de pilotage d'État
actuelle. Est-on en train de vivre le 1984 de la recherche?
Nous, enseignants-chercheurs, chercheurs et étudiants de toutes disciplines,
directeurs de laboratoires, directeurs de revues, citoyens, nous rejetons
toute collaboration et toute complicité avec ce système de contrôle et de
surveillance de la pensée.


Pourquoi appelons-nous à cette mobilisation ?

Depuis quelques années, la politique d’État de notre gouvernement est celle
des LISTES, agrémentées de fichages, de critères variés, de normes précises
et d’évaluations nombreuses. Le fichier « Edvige » est là pour en témoigner.
Aujourd’hui, la situation est grave : ce qui est chiffrable et quantifiable
paraît objectif et indiscutable. Le discours du mètre, de la psychométrie à
la bibliométrie, devient le discours officiel. Tout se chiffre et se met en
liste. L’Histoire, pourtant, nous a largement appris ce que pouvaient
signifier les LISTES émanant d’un pouvoir central : on commence par évaluer,
puis l’on trie, pour finalement éliminer.
Evaluer, trier, éliminer, telle est la politique d’État actuelle de la
recherche. 

En dehors de l’université et de la recherche, dans de nombreux domaines,
nous sommes déjà fichés et listés : il n’est que de se rendre compte du
courrier, électronique ou postal, que nous recevons parce que nous sommes
consommateurs de tel ou tel produit, membres de telle ou telle association,
participants de telle ou telle manifestation, adhérents de tel ou tel parti,
associés de près ou de loin à telle ou telle idée. Nous sommes des proies
marketing, enregistrées dans des banques et des bases de données. Ce sont
les lois du marché. Ces lois sont-elles inéluctables, qu’il s’agisse du
domaine privé ou du domaine public ? Nous refusons vigoureusement que la loi
du marché s’applique massivement au domaine de la culture, de la
transmission des savoirs, des connaissances et de la recherche.

Nous voulons réagir fermement à l’infiltration sournoise d’un contrôle
d’État centralisé dans le monde du savoir, de la connaissance et de la
culture que sont nos écoles et nos universités. L’université a pour mission
de garantir des chances égales et républicaines à nos enfants et c’est aussi
de leur avenir qu’il s’agit : nous tenons à cette université dont on nous
prédit le pire au regard des « grands enjeux de la compétition mondiale ».
Nous savons tous que le classement Shanghaï des universités est une vaste
comédie qui ne fait rire personne. L’habileté de la politique libérale
actuelle est de nous faire croire que nous sommes à la traîne, que nous ne
sommes pas compétitifs : il faudrait aligner le savoir et la connaissance
aux seuls critères de la marchandise. Il faudrait nous soumettre au contrôle
et à l’évaluation, il faudrait marcher au pas. Les discours humiliants et
méprisants sur l’école et l’université remplissent les colonnes de nos
journaux. La mélancolie et le sentiment d’impuissance gagnent nos rangs.
Nous refusons ce défaitisme.

Des systèmes d’évaluation existent déjà, et depuis longtemps : en tant
qu’enseignants et chercheurs, nous les avons toujours traversés, depuis les
concours jusqu’aux publications. Les pratiques des enseignants sont depuis
bien longtemps évaluées, par les visites des inspecteurs dans le système
scolaire, par les primes, les promotions, les publications à l’université.
Nous pensons, bien évidemment, qu’il est nécessaire et fructueux de mener
une réflexion critique sur nos pratiques, parce que notre fonction nous
donne une responsabilité auprès du public large et varié que sont les
étudiants, et auprès de tous nos concitoyens à qui nous devons des comptes.
Nous ne refusons pas l’évaluation à condition qu’elle se fasse dans la
concertation et le dialogue qui préservent l’appréciation qualitative de nos
travaux. Nous ne refusons pas le dialogue à condition que l’objectif affiché
(améliorer l’enseignement et la recherche) corresponde aux motivations
réelles d’une telle entreprise et ne serve pas les intérêts d’un objectif
strictement économique (coupes dans les budgets, suppression de postes,
disparition progressive de certaines disciplines ou de niveaux de
formation).

La situation, en effet, est complexe : l’AERES n’est pas seulement une
agence d’évaluation, elle n’en porte en réalité que l’habit. L’habileté de
cette politique d’État consiste à la présenter comme étant au service des
intérêts de l’université , alors qu’elle crée toutes les conditions pour que
se déchirent entre elles les communautés scientifiques et les sociétés
savantes. Les intérêts catégoriels (« pourvu que je sois dans la liste… » )
supplantent l’intérêt général. Diviser a toujours été une bonne stratégie
pour avancer sans dialoguer.
L’AERES, en réalité, est une agence de contrôle, de listage des enseignants,
aujourd’hui de leur recherche, demain de leur comportement. Son
fonctionnement opaque, autoritaire, discréditant et humiliant en témoigne,
et c’est aussi pour cette raison que nous nous opposons à ce système, que
nous refusons le principe délétère des LISTES.
La ministre Valérie Pécresse disait lors d’une interview : « Toute recherche
est une compétition ». N’est-ce pas là encore le vocabulaire de la
concurrence confondu avec celui de l’émulation ? Oui, les chercheurs ont
besoin d’une émulation collective pour penser et débattre sur leurs objets
de recherche. Cette émulation est attestée par les centaines de colloques
qui ont lieu chaque année et qui rassemblent des chercheurs français et
internationaux de champs disciplinaires et de références théoriques
différents, voire divergents : ce sont des lieux de discussions et de débats
parfois houleux, toujours stimulants. Cette émulation est nourrie par le
nombre de publications dans des revues et des ouvrages libres. Un chercheur
n’hésite pas à se frotter au débat et il n’hésite jamais à réfléchir sur ses
objets de connaissances, sur ses référents théoriques, sur ses pratiques
d’enseignement s’il est enseignant. C’est aussi de la polémique et du débat
que naît la pensée.

Et le problème est bien là : la politique actuelle d’évaluation et de liste
tend à faire mourir la dynamique de cette pensée. Elle « dé-moralise » la
recherche parce qu’elle l’instrumentalise. La pensée devient un instrument
pour tel ou tel clan ou telle ou telle carrière. La morale et l’éthique
nécessaires à la production de pensée est étouffée par l’utilitarisme et les
discours d’efficacité. La politique d’État de la recherche cherche à
soumettre le savoir au pouvoir. « Halte à la pensée », nous dit cette
politique d’évaluation et de normalisation avec ses critères quantitatifs.
Pour être classé A, il faut être ceci ou cela, avoir publié dans telle revue
cotée ou tel organe de propagande scientifique (on connaît les arbitraires
et les copinages de ce système : les dizaines de motions écrites à ce sujet
émanant de sections du CNU témoignent de cette opacité et de cet
arbitraire).
La politique actuelle d’évaluation de la recherche tend à installer un
cloisonnement entre les disciplines et une suspicion sur chacune des
disciplines : les sciences humaines et sociales (SHS), d’un côté, qui sont
de moins en moins reconnues par le pouvoir du fait de leur résistance à la
simple quantification, et, de l’autre, les sciences exactes dont les
applications quantifiables détiendraient la vérité sur le fonctionnement de
l’homme, du monde et de l’univers. Et voilà que l’on divise encore les SHS
entre trois « périmètres scientifiques » (« Cultures et sociétés dans
l’histoire », « Homme, société et environnement », « Cognition et
comportement ») et que l’on redistribue arbitrairement les espaces : au
besoin, par exemple, l’on force un peu pour contraindre la sociologie à
entrer dans telle case, la psychologie dans telle autre, et l’on observe
l’écartèlement de l’archéologie ou de l’anthropologie. Par ce cloisonnement,
la politique autoritaire de pilotage étatique de la recherche suscite des
oppositions artificielles. Or l’émulation collective et l’esprit de
communauté scientifique n’ont rien à voir avec cette compétition que l’on
nous impose : cette « évaluation » génère des crispations individuelles par
l’insécurité qu’elle distille ; cette « compétition » diffuse un esprit de «
sauve qui peut ». C’est une politique absolument contre-productive pour la
recherche et les débats dialectiques dont elle se nourrit pour avancer.

Quel avenir alors pour les mouvements d’idées novateurs, pour les pensées
avant-gardistes qui défient précisément les courants d’État et les courants
normatifs ? Que devient la fécondité séculaire des échecs et des erreurs qui
ont toujours fait avancer le savoir et la pensée ? Que dire d’une revue qui
voudrait naître et qui serait mort-née parce qu’elle ne serait pas dans la
liste ? La politique de liste est bien une idéologie du lissage de la
pensée. Elle est à l’opposée de la recherche et de la connaissance même.
Nous ne nous battons pas pour faire entrer tel laboratoire ou telle revue
dans la LISTE, c’est le principe même de « LA LISTE » que nous refusons.
Edvige est sortie par la porte, ne la laissons pas entrer par la fenêtre de
l’université et de la recherche.

Nous, enseignants-chercheurs, chercheurs et étudiants de toutes disciplines,
directeurs de laboratoires, directeurs de revues, citoyens, nous rejetons
toute collaboration et toute complicité avec ce système de contrôle de la
pensée.

Laurie LAUFER (psychologie clinique, Paris VII Denis-Diderot), Sandra
BOEHRINGER (histoire grecque, Strasbourg II Marc-Bloch), Marie-Laurence
DESCLOS (philosophie ancienne, Grenoble II Pierre Mendès-France), Marie-José
MONDZAIN (philosophie, CNRS), Louis-Georges TIN (Lettres Modernes,
Université d’Orléans).

 

Signataires (par ordre alphabétique):
* Jean ABOUDARHAM (Astronome),
* Vicent ACHARD (Psychologue),
* Thierry ADELAÏDE (Psychologue clinicien, montrouge),
* Karin ADLER (Psychanalyste),
* Dolorès ALBARRACIN (Université de poitiers),
* Sheiban ALI (Enseignant-chercheur- sociologie),
* Maurice ALIX (Employé,toulouse),
* Jérôme ALRIC (Psychologue montpellier),
* Vincent AME (Paris),
* Claire ANANOS, 
* Françoise ARMENGAUD (Docteur en philosophie),
* Sylvie ARMILHON (Chargée de partenariat),
* Michel ARMIN, 
* Lucile ARNOUX (Mcf en littérature comparée, tours),
* Françoise ASSO (Mcf de littérature française),
* Nicole AUBERT (Professeur à l'ecole superieure de commerce de paris,
chercheur au laboratoire de changement social de l'université paris 7),
* Anne AUBERT GODARD (Professeur d'université présidente de l'anep),
* Catherine AUDIBERT (Psychologue, psychanalyste, vincennes),
* Morwena AUDIC (Hédé),
* Marie-frédérique BACQUÉ (Strasbourg),
* Catherine BALUTEAU (Conseillère anpe),
* Dominique BARREAU (Enseignante toulouse),
* Odile BARTHÉLEMY (Psychanalyste à metz),
* Sophie BASCH (Professeur des universités, paris iv-sorbonne),
* Carina BASUALDO (Maître de conférences, psychanalyste à paris),
* Marianne BAUDIN (Pr. psycho clinique et psychopathologie. paris 13),
* Balbino BAUTISTA (Psychanalyste, professeur aux beaux arts de toulouse),
* Alice BECKMANN (Productrice),
* Nicole BELAYCHE (Directeur d'études, ephe sciences religieuses),
* Anna albertina BELTRAMETTI (Professore di letteratura greca, università di
pavia), 
* Arnaud BERNADET (Mcf - université de franche-comté),
* Yann BERTHELET (Allocataire-moniteur normalien, paris i panthéon
sorbonne), 
* Nancy BERTHIER (Professeur paris est),
* Christine BERTRAND,
* Damien BEYROUTHY,
* Eric BIDAUD (Maître de condérences hdr, paris 13),
* Colette BIGIO (Psychanalyste paris),
* Stéphane BIKIALO (Maître de conférences poitiers),
* Florence BINARD (Mcf paris diderot paris 7),
* Bertrand BINOCHE (Professeur philosophie université paris 1),
* Alain BLANC (La seyne sur mer),
* Pascale BLANC (Psychologue clinicienne),
* Sylvie BLESSON (Secrétaire),
* Eric BLONDEL (Professeur émérite paris i, philosophie),
* Sandra BOEHRINGER (Mcf, histoire grecque, strasbourg ii),
* Corinne BONNET (Professeur, université de toulouse ii),
* Eric BORDAS (Psychologue-psychanalyste),
* Emmanuelle BORGNIS DESBORDES (Maitre de conférences en psychopathologie),
* Jacques BORGY (Psychologue),
* Valérie BOUILLON (Sculpteure),
* Anne BOURGAIN (Enseignant chercheur paris 13),
* Nicolas BOURGOIN (Enseignant-chercheur),
* Mona BOUTALEB (Psychanalyste doctorante),
* Nicole BRENEZ (Maître de conférences),
* Michel BRIAND (Professeur de grec, université de poitiers),
* Michèle BROUSSE (Comédienne ,montreuil),
* Louise BRUIT (Professeur honoraire paris vii),
* Pierre BUISSON (Ingénieur d'études - montpellier),
* Florence CABARET (Mcf littérature anglaise, rouen),
* Aline CAILLET (Université paris est-marne la vallée),
* Maria CANDEA (Maitresse de conférences en sciences du langage),
* Cécile CANUT, 
* Martine CAPY, 
* Jean claude CARAIRE,
* Solenn CAROF, 
* Françoise CARON (Maitre de conferences -aix -marseille i),
* Rosa CARON (Mcf-hdr psychopathologie et psychologie clinique lille3),
* Aurélie CARRARA (Allocataire-moniteur, bx iii),
* Aurore CARTIER (Documentaliste),
* Hervé CASTANET (Professeur des universités (psychopathologie clinique),
psychanalyste (marseille)),
* Michèle CAUSSE (écrivain, toulouse),
* Myriam CAUSSE OLIVIER (Psychologue,dax),
* Christine CHAGNEAUD (Albi),
* Kévin CHAILLY (Technicien),
* Patrick CHAILONICK (Formateur dijon),
* Jean-bernard CHAPELIER (Mcf-hdr poitiers),
* Chantal CHASSAT (Psychanalyste yvelines),
* Natacha CHETCUTI (Sociologue (doctorante) ehess paris),
* Jean-françois CHIANTARETTO (Professeur de psychopathologie, paris 13),
* Nade CHRISTEL, 
* Michele CLAVEAU (Prof certifié),
* Raymond CORBET (Retraité, belfort),
* Hubert COURT (Psychologue hospitalier),
* Francine COUSINIÉ (Psychanalyste à albi),
* Raffaela CUCCINIELLO (Chargée de cours inalco),
* Michel CURE (Artiste et professeur),
* Catherine DARBO-PESCHANSKI (Chercheur cnrs umr 8163 lille),
* Bruno DASSY (Maître de conférences paris vi),
* Fernando DE AMORIM,
* Nathalie DE KERNIER (Ater, université paris diderot),
* Marie-josé DEL VOLGO (Mcu-ph, faculté de médecine d'aix-marseille)),
* Françoise DELBOS,
* Mireille DELBRACCIO (Ingénieur de recherche cnrs, paris),
* Sylvain DELOUVÉE (Maître de conférences, rennes 2),
* Sylvie DELRIEU CHANTEMESSE (Psychologue clinicienne),
* Caroline DEMEULE (Psychologue clinicienne, doctorante université paris
vii), 
* Claudine DEROUARD (Retraitée, strasbourg),
* Marie-laurence DESCLOS (Professeur des universités-grenoble 2),
* Ludovic DESJARDINS (Etudiant, villetaneuse),
* Catherine DESPRATS PEQUIGNOT (Mdec paris 7),
* Marie DESSONS (Psychologue clinicienne, poitiers),
* Duchmoll DOCTEUR (Chercheur libre et humoristique, pertinent et insolent ;
voir docteurduchmoll.com),
* Xavier DRAKE (Psychologue clinicien, montpellier),
* Francoise DUBOR (Maître de conférences - université de poitiers),
* Alain DUCOUSSO-LACAZE (Professeur de psychopathologie clinique poitiers),
* Bernard DUEZ (Professeur de psychopathologie clinique université lyon2),
* Christine DURAND (Psychologue clinicienne),
* Marie-christine DURAUD (Psychologue nîmes),
* Marie-thérèse ELLIAUTOU,
* Jean-paul ENGÉLIBERT (Professeur, université bordeaux 3),
* Michel ESPAGNE (Directeur de recherche au cnrs),
* Vincent ESTELLON (Enseignant chercheur université paris 5),
* Jeanne EVRARD (étudiant - upmf grenoble),
* David FAROULT (Maître de conférences en cinéma - université paris est -
marne-la-vallée), 
* Philippe FÉRAULT (Psychologue-psychanalyste),
* Norman FÉREY (Etudiant-doctorat),
* Guilhem FERRAND (Ater histoire médiévale université toulouse ii le
mirail), 
* Suzanne FERRIÈRES-PESTUREAU (Psychanalyste groupe pandora paris vii),
* Magali FILIPPI (étudiante en psychopathologie clinique et psychanalyse à
marseille), 
* Julien FIROUD (Etudiant - univ. paris-est - marne-le-vallée),
* Hélène FLECKINGER (Ater université paris-est),
* Frédéric FOREST (Administrateur civil, docteur en sciences politiques),
* Anne FORSSELL (Secrétaire de rédaction ie - cnrs),
* Claudette FORTUNY (Ie cnrs. umr 5186 montpellier 3),
* Pierre FOUILHOUX (Maître de conférences),
* Dominique FOULADOUX (Bordeaux),
* Sami FREDJ, 
* Chloé FROISSART (Post-doctorante à l'ehess),
* Georges GAILLARD (Maître de conférence en psychologie),
* Jacques GAILLARD (écrivain, maitre de conférence honoraire strasbourg
marc-bloch), 
* Isabelle GALLAND (Psychologue aux hopitaux universitaires de strasbourg),
* Michel GARY (Professeur à l'école supérieure des beaux-arts de toulouse),
* Pierre-yves GAUDARD (Maître de conférences, université paris descartes),
* Henriette GAUTRON (Retraitée),
* Christiane GAUZE (Psychologue clinicienne, montpellier),
* Miguel Ángel GERACE (Psychologue - buenos aires),
* Julien GETTLIFFE (Chargé de mission, metz),
* Gianotti GIAN FRANCO (Filologia classica, università di torino (italie)),
* Véronique GILBERT (Psychologue clinicienne - institut de puériculture et
de périnatalogie - paris - enseignante à l'institut de psychologie),
* François GILIGNY (Mcf univ. paris 1),
* Hélène GODEFROY (Psychanalyste (paris et la rochelle)),
* Roland GORI (Professeur de psychopathologie clinique à l'université
d'aix-marseille), 
* Jean GORTAIS (Université paris 7),
* Marie-josé GRIHOM (Maître de conférences en psychopathologie, université
de poitiers), 
* Gilles GRIVAUD (Profeseur histoire médiévale université de rouen),
* Karinne GUENICHE (Maître de conférences psychologie clinique - paris
descartes), 
* Marie-gabrielle GUÉRARD (Ita cnrs umr 5189 - lyon),
* Philippe GUÉRIN (Enseignant chercheur (italien)),
* Françoise GUILLEMAUT (Toulouse),
* Anouk GUINE (Post-doctorante, sciences sociales, paris),
* Chantal GUINEBAULT (Maître de conférence),
* Brigitte HAIE (Post-doctorante, psychologue tours),
* Mohammed HAM (Professeurs des universites, nice),
* Marie HANIN (Comptable),
* Gisèle HARRUS-RÉVIDI (Directrice de la revue champ psychosomatique),
* Floréal HEMERY (étudiant),
* Dominique HERMAN (Cop),
* Derek HUMPHREYS (Chargé de cours, université paris - descartes),
* Liliane HURIAUX-VIGIER-IZAMBARD (Psychologue clinicienne),
* Françoise HURSTEL (Professeur universités),
* Flavie ISOARD (Etudiante en master 2 psychopathologie clinique et
psychanalyse), 
* Elodie JACQUELET (étudiante, m2 psychologie, paris 13),
* Elodie JAUNEAU (Doctorante, monitrice en histoire contemporaine, paris
diderot - paris 7),
* Sihem JGUIRIM-KELLER (Doctorante-psychologue à paris7),
* Laurence JOSEPH (Psychanalyste,paris),
* Quentin JOURET (Enseignant),
* Anne JURANVILLE (Professeur de psychologie, université de nice),
* Cecilia KEBAILI (Paris),
* Pascal-henri KELLER (Université poitiers),
* Hormuz KÉY (Cinéaste et enseignant),
* Jean-pierre KLOTZ (Psychiatre, psychanalyste à bordeaux, conférencier à
l'université paris viii),
* Renée KOCH PIETTRE (Maître de conférences, ecole pratique des hautes
etudes), 
* Max KOHN (Psychanalyste, mcf hdr ,université paris diderot - paris),
* Yvan KRAEPIEL (Maître de conférences - paris 6),
* Aude LABAT (Psychothérapeute, psychopédagogue),
* Francoise LABRIDY (Professeur émérite, villers les nancy),
* Bertrand LAFORGE (Maître de conférences - upmc - paris 6),
* Alexis LAHELLEC (Galeriste),
* Christian LAMOUROUX (Professeur des sciences de la terred'université
lille1), 
* Ichrak LAOUD (Psychologue clinicienne. paris),
* Jean-manuel LARRALDE (Professeur en droit public - université de caen),
* Christine LARROQUE (Enseignante),
* Marie-josé LATOUR (Psychanalyste à tarbes),
* Laurie LAUFER (Mcf psychopathologie université paris 7),
* Christian LAVAULT (Professeur des universités),
* Cécile LAVERGNE (Doctorante en philosophie paris x),
* Pascal LE MALÉFAN (Mcu hdr - psychologue),
* Béatrice LE MOËN (Enseignante spécialisée),
* Sylvie LE POULICHET (Professeur de psychopathologie à l'université paris
7), 
* Véronique LE RU, 
* Laurent LE VAGUERESE (Psychiatre psychanalyste responsable du site
oedipe.org), 
* Dominique LECOMTE (Maitre de conferences),
* Florence LECOMTE,
* Geneviève LEFEBVRE (Médiatrice- paris),
* Yannick LEFRANC (Maître de conférences (français langue etrangère)
université marc bloch strasbourg),
* Jean-loup LENOIR (Doctorant toulouse),
* Florine LEPLÂTRE (étudiante en master d'études cinématographiques, paris),
* Jean-louis LEUTRAT (Prof université paris 3),
* Hinda LEWI-FÉRAULT (Psychiatre-praticien hospitalier),
* Chantal LHEUREUX-DAVIDSE (Mcf psychologie clinique, univ. paris 7),
* Andrea LINHARES (Mcf psychologie clinique paris7),
* Silvia LIPPI, 
* Pierre LITZLER (Professeur des universités, ufr arts, université de
strasbourg), 
* Magalie LOCHON (Scénographe, enseignante, doctorante. paris),
* Isabelle LOISON (Plasticienne - 09000 foix),
* Frederic LOUSTALOT (Intermittent du spectacle),
* Jacqueline LUTZ LAFARGE (Infirmière rieumes 31),
* Edit MAC CLAY (Psychanalyste),
* Carol MADJER (Enseignante, paris est - marne la vallée),
* Louise MAHÉ, 
* Farida MAJDOUB (Maître de conférence rouen),
* Jean-claude MALEVAL (Pr psychologie rennes 2.),
* Jean MALIFAUD (Maitre de conférences paris7),
* Marthe MARANDOLA (Médiatrice journaliste),
* Jacques MARAZANO (Retraité.yvelines),
* Lionel MARY (Maître de conférences de latin - université de nanterre),
* Céline MASSON (Maître de conférences, psychanalyste, paris-7),
* Aurélia MATHIOT (étudiante en anthropologie),
* Raphaëlle MATTA (Master 2 psychopathologie clinique et psychanalyse),
* G.h. MAURAS, 
* Maria ignez MENA BARRETO (Post-doctorant),
* Catherine MEUNIER (Psychologue),
* Stambolis-ruhstorfer MICHAEL,
* A MICHARD (Musicien enseignant),
* Gilles MICHEL (Psychologue-doctorant université aix-marseille),
* Catherine MILKOVITCH-RIOUX (Maître de conférences, université
clermont-ferrand ii),
* Jacques-alain MILLER (Directeur du département de psychanalyse, université
de paris 8), 
* Sonja MILLER-DOUZAL (Psychologue),
* Christophe MISTRETTA (Etudiant en master 2 de psychopathologie clinique et
psychanalyse à marseille),
* Marie josé MONDZAIN (Directeur de recherche au cnrs),
* Catherine MOUNIER (Psychologue-psychanalyste),
* Sarga MOUSSA (Directeur de recherche cnrs, littérature française),
* Claude NACHIN (Ancien chargé de cours psychopatho),
* Piroska NAGY (Historienne, rouen-montréal),
* Marella NAPPI (Post-doctorante ehess),
* Pierre NAVEAU (Maître de conférences à l'université paris 8),
* Olivier NEVEUX (Mcf arts - strasbourg ii),
* Valérie NIDDAM (Auteure - paris),
* Philippe NOËL (Comédien metteur en scène),
* Charalampos ORFANOS (Mcf hdr),
* Laurent OTTAVI (Professeur des universités, directeur ea 4050
psychopathologie. université rennes 2),
* Christiane PAGE (Professeur des universités, arts du spectacle, rennes 2),
* Jacques PASCAL (Psychologue 65150 saint laurent de neste),
* Sorina PATRASCU (Psychanalyste, doctorand univ. paris 7),
* Jacques PÉDRON (Mcf, sciencesq de la vie, université pierre et marie
curie), 
* Gerard PEILLET, 
* Isabelle PELLEGRINI (Chargée de recherche inserm, marseille),
* Sylvie PERCEAU (Maître de conférences en littérature grecque, amiens),
* Manuel PÉREZ (Psychanalyste),
* Mélanie PEROTTO, 
* Daniel PERRIER (Artiste enseignant),
* Fabien PERRIN (Mc neurosciences lyon),
* Peps' PERRIN (Plasticien),
* Gaelle PERRON, 
* Elise PESTRE (Psychologue),
* Jacques marcel PETIT (Retraité enseignement),
* Pascale PEUCHMAUR (Paris),
* Roland PFEFFERKORN (Pr sociologie strasbourg),
* Flora PICAT (étudiante),
* Maxime PIERRE (Anthropologue),
* Michelle PODROZNIK (Producteur paris),
* Rémy POTIER (Maitre de conférence université lumière lyon2),
* Jacques POULAIN (Professeur d'université, université de paris 8),
* Christine POUZOULET (Mcf litt. comparée à montpellier iii),
* Nadine PROIA-LELOUEY (Professeur d'université),
* Marie QUEVREUX (Etudiante, philosophie),
* Djamel RABAHI (Tokyo),
* Michèle RAOUL-DAVIS (Conseiller artistique paris),
* Delphine RENARD (Psychologue, doctorante paris-vii),
* Olivier RENAUT (Mcf philosophie ancienne - paris ouest nanterre),
* Francisco RENGIFO (Doctorant université paris vii),
* Véronique RESSEGUIER (Psychologue clinicienne, libérale),
* Thierry REVOL (Professeur de linguistique française diachronique,
strasbourg), 
* Michelle RIBES (Enseignate),
* Michel RICATEAU (Maître de conférence psychopathologie poitiers),
* Audrey RIERA (Etudiante master psychopathologie et psychanalyse,
marseille), 
* Valérie ROBERT (Mcf etudes germaniques paris 3),
* Cyril ROBERTO (Maître de conférences, paris est),
* Jean-françois ROBIC (Pr, arts visuels, université marc bloch, strasbourg
2), 
* Nathalie ROCAILLEUX (Psychologue, directrice d'afl transition),
* Adriana ROJAS (Psychologue, haute garonne),
* Florence ROLLAND (Psychologue clinicienne),
* Mathilde ROMAN (Docteur en arts et sciences de l'art, enseignante et
critique d'art), 
* Joëlle ROSEMAN (Psychologue chargée de cours paris 7),
* Elisabeth ROUDINESCO,
* Mylene ROYER, 
* Miriam RUISSEAU (Photographe),
* Louis RUIZ (Docteur en psychopathologie, toulouse),
* Charlotte SALAUN,
* Christian SALMON (écrivain chercheur cnrs),
* Robert SAMACHER (Ex-maître de conférences université paris 7),
* Françoise SAMSON (Citoyenne),
* Giuseppe SANGIRARDI (Professeur d'italien, université de bourgogne),
* Renato SARIEDDINE ARAUJO (Psychologue, doctorant paris 7),
* Marie-jean SAURET (Professeur des universités, psychanalyste),
* Michel SAVARIC (Maître de conférences, civilisations britannique et
irlandaise, besançon),
* Alain SAVET (Enseignant chercheur et psychologue clinicien),
* Dimitrios SCARPALEZOS (Maitre e conférences de mathématiques, université
paris 7), 
* Jean-pierre SCHANDELER (Cnrs),
* Delphine SCOTTO DI VETTIMO (Maître de conférences universitaire),
* Janie SELETTI, 
* Coline SELMO (étudiante),
* Emmanuelle SEMIATICKI (Psychologue clinicienne-doctorante),
* Claire SIMON, 
* Michèle SIMONNET,
* Marie SINIGRE (Responsable ass° culturelles),
* André SIROTA (Professeur des universités),
* Isabelle SOLÈRES (Mcf etudes germaniques),
* Jean-pierre SOLVES (Musicien),
* Thelma SOWLEY (Enseignante à la retraite de paris 8),
* Hannah STEIN, 
* Rajaa STITOU (Mcf université montpellier iii),
* Jean-marc TALPIN (Maître de conférences lyon),
* Anne TASSEL (M.c. shc université paris denis diderot),
* Hosni TEKAYA (Enseignant),
* Romain TELLIEZ (Mcf histoire, paris 4 - sorbonne),
* Marie-agnès TESSIER (Psychologue doctorante paris vii),
* Christophe TESTON (Educateur spécialisé),
* Natacha THIÉRY (Mcf cinéma),
* Yann THOLONIAT (Maître de conférences strasbourg),
* Stéphane THUAULT (Bibliothécaire-documentaliste),
* Pascale TIÉVANT (Enseignante toulouse),
* Cosimo TRONO (Psychanalyste, éditeur, chargé d'enseignement, paris),
* Alix TUBMAN-MARY (Prag (université de poitiers)),
* Jean-louis UBERTI (Vétérinaire retraité),
* Aude VALEMBOIS, 
* Liliane VALENTIN (Psychanalyste paris),
* David VALLS-GABAUD (Astrophysicien, cnrs),
* Jérôme VALLUY (Enseignant-chercheur univ paris 1 science politique),
* Claudine VASSAS (Ethnologue directrice de recherches au c.n.r.s (
chercheur au lisst/centred'anthropologie toulouse le mirail),
* Bruno VERGEZ (Enseignant bordeaux),
* Izabel VILELA (Fondatrice de la revue langage et inconscient),
* Noémie VILLACÈQUE (Doctorante, univ. toulouse ii - le mirail),
* Sophie VINCELOT (Psychologue clinicienne la seyne s/mer),
* Frédéric VINOT (Mcf psychologie clinique, université de nice
sophia-antipolis), 
* Jean-michel VIVES (Professeur de psychopathologie clinique - université de
nice), 
* Claude WACJMAN (Directeur de recherche paris diderot),
* Régine WAINTRATER (Mcf paris 7 .),
* Daniel WELZER-LANG (Professeur de sociologie, université toulouse
le-mirail), 
* Jean françois WERNER,
* Simone WIENER (Psychanalyste),
* Patrick WOTLING (Professeur des universités),
* Geneviève WROBEL (Psychologue clinicienne, paris),
* Armand ZALOSZYC (Psychanalyste, enseignant-coordinateur section clinique
de strasbourg), 
* Luz ZAPATA-REINERT (Mcf psychopathologie clinique et psychanalyse),
* Žric ZULIANI (Enseignant universitŽ nantes)
 

Signer la pétition :
http://www.mlibr.org/petition/index.php?petition=2&signe=oui

Appel (permanent) du réseau TERRA  à ouvrir un chantier national de
recherche, débat et réflexion
sur les orgines des nationalismes, xénophobies et discriminations et les
causes de leurs 
exacerbations périodiques dans l’histoire de l’humanité

6402 signataires... et vous ? et vous  ? et vous ?
SIGNEZ ICI : http://terra.rezo.net/article602.html

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