Limposture de Marie-Thérèse de Brosses
Natoli
pierrenatoli at YAHOO.FR
Wed Nov 2 14:15:57 UTC 2005
L'imposture de Marie-Thérèse de Brosses
par Eric Julien.
Réponse à l'article de la journaliste Marie-Thérèse de Brosses «Eric
Julien : la fin d'une imposture ». Octobre 2005
Quelle est cette affaire ? Résumons-la en quelques mots avec le
recul de l'enquêteur impartial.
Un internaute qui fut élève pilote de chasse, contrôleur aérien
militaire, pilote professionnel sur biréacteur, chef d'escale de
permanence en compagnie aérienne, cadre d'exploitation dans un grand
aéroport, ayant encadré plus de deux cent personnes, diplômé d'un
DESS de sciences économiques et d'un certificat de directeur
d'aéroport international, prétend avoir été contacté plusieurs fois
par les extraterrestres. Ce qui est le cas de milliers de personnes.
Il prétend publiquement qu'ils lui ont communiqué un schéma de
vaisseau spatial, la nature du temps, ses conséquences pour la
science, et un message des ETs adressé à l'humanité. Cet internaute
s'exprime d'abord à travers son véritable nom (Eric Julien) pour les
aspects techniques, puis fait usage d'un pseudonyme, Jean Ederman,
pour diffuser le message qui ne lui appartient pas. Il affirme qu'il
n'a rien d'une exception et dénonce les sectes de toute nature. Les
extraterrestres ne l'ont pas choisi, c'est lui qui a choisi d'en
parler publiquement. C'est cette audace même, cette prise de risque
qui rend le fait exceptionnel.
Il écrit plusieurs articles consultés par plusieurs centaines de
milliers de personnes dans le monde. Quant au message
extraterrestre « Désirez-vous nous voir apparaître ? », il est lu
par plusieurs millions de personnes sur les cinq continents. Ce
message fut en effet traduit en seize langues spontanément par des
internautes sans relation avec l'auteur. D'autres traductions sont
probablement disponibles mais inaccessibles du fait des caractères
des langues étrangères, donc invérifiables. Pour la communauté
ufologique francophone, que l'intéressé a très tôt malmenée en
dénonçant ses courtes vues, l'affaire ne passe pas inaperçue : un
homme, parfaitement inconnu de cette communauté deux ans auparavant,
dépasse les frontières de l'hexagone en quelques mois et celles de
la simple problématique ovni « tôles et boulons ». Ce que très peu
d'ufologues francophones avaient réussi à faire en cinquante ans.
Bien qu'il n'ait jamais rien gagné de cette popularité si ce n'est
des sarcasmes, des jalousies naissent et les règlements de compte
pleuvent. Ils se multiplient d'autant plus qu'il n'est plus là pour
répondre, soit parce que les listes de discussion le censurent par
collusion, soit parce qu'il ne peut plus répondre lui-même pour
raisons de menaces (exposées plus loin). Les amalgames sectaires et
autres procès d'intention deviennent monnaie courante. Visiblement,
Eric Julien dérange. Mais qui ?
* * *
De nombreux lecteurs m'ont fait part de leur indignation face aux
attaques dont j'ai été l'objet alors même que personne n'avait
d'informations pertinentes. Ils m'ont confié avoir été écoeurés par
le comportement de mes accusateurs et le jeu de massacre auquel ces
derniers se sont livrés, hypothéquant lourdement la crédibilité de
l'ufologie francophone à long terme.
Maintenant que mon premier ouvrage La Science des Extraterrestres
est sorti en librairie en France, avec le succès qu'on lui connaît
(premier dans sa catégorie à ce jour), il apparaît utile de
s'adresser à tous ceux que les faits intéressent et qui ont lu, ici
ou là sur Internet, les logorrhées accusatrices de Marie-Thérèse de
Brosses à mon encontre. Il importe de rétablir la vérité lorsque
celle-ci fait cruellement défaut. Face aux réactions de lecteurs
trop pressés de juger et de condamner, il devient indispensable de
mettre au jour l'imposture journalistique de la « diva » de
l'ufologie française.
Marie-Thérèse de Brosses (MTB), ancienne pigiste au magazine people
Paris-Match, a rédigé en juillet 2004 un article électronique cité
en titre dont un journaliste compétent trouvera immédiatement les
failles :
- L'article n'est pas daté, lui conférant une illégitime
valeur intemporelle,
- L'article ne décrit pas mon parcours professionnel ni mes
compétences,
- L'article est écrit cinq mois après les faits rapportés,
alors que je demeurais silencieux,
- MTB ne s'exprime jamais sur Internet, ce qui ressemble à
une manipulation,
- Elle n'étaye aucun fait concret et se contente de
reprendre les propos d'autrui,
- Elle n'indique aucune de mes expériences et observations
d'OVNI, ou de ma famille,
- Elle ne m'a jamais contacté en vue d'asseoir son
argumentaire sur mes propres mots,
- Sa prose est purement diffamatoire et s'appuie sur une
cabale savamment orchestrée.
Certains veulent vous éloigner de la vérité qui les ferait tomber
illico de leur piédestal. Non seulement Marie-Thérèse de Brosses a
déshonoré sa profession, mais elle a persisté dans sa malhonnêteté
intellectuelle puisqu'elle m'a avoué dans un email l'absence de
plagiat qu'elle évoque sans vouloir pour autant retirer son article.
Elle sait en effet qu'elle n'a réalisé aucune enquête !
Marie-Thérèse de Brosses est auteur de six ouvrages qui n'ont aucun
rapport thématique entre eux. Elle n'est spécialiste de rien mais se
permet pourtant de juger autrui sans retenue. La haute bourgeoisie
dont elle est originaire a-t-elle quelque rapport avec cette
propension ? Cela vient-il de sa capacité verbeuse à tourner autour
d'une idée sans rien en dire de pertinent ? Son dernier livre en
date (1995) est consacré aux abductions, c'est-à-dire les
enlèvements d'êtres humains par des extraterrestres. Elle a eu le
mérite incontestable d'introduire publiquement en France ce sujet
éminemment sérieux. Du coup, beaucoup ont vu en elle une ufologue !
Pourtant tout un chacun peut se prétendre en être un. Puisqu'il
n'existe aucune faculté d'ufologie, encore moins de professeurs
dignes d'y tenir une chaire, ceux qui ont vécu un contact sont a
priori les plus à même de parler d'ufologie. Marie-Thérèse de
Brosses n'est donc pas plus grand reporter qu'ufologue. Un grand
reporter s'engage au combat de l'information, il se bat pour la
vérité, pour les faits. Il les met en perspective et les place dans
un contexte approprié. Bref, les bases du journalisme ! Un ufologue
fouille les dossiers, les remue, va dans le détail et vérifie par
lui-même les allégations ou les indices. Comme il ne comprend pas
les phénomènes, il ponctue par des points d'interrogations et des
pointillés. Il sait qu'il ne peut juger d'une situation dont il n'a
pas toutes les clés.
L'ouvrage de la journaliste commence par un avertissement où
précautions oratoires et emphases stylistiques se jouent du lecteur.
Tout ce que vous allez lire n'est pas vraiment sérieux, tout au plus
subjectif, annonce-t-elle. Elle a une réputation à tenir. Elle est
si précautionneuse qu'elle en écrit des âneries : «
pour ne prendre
qu'un exemple, la douleur est un phénomène subjectif. Elle n'existe
pas en soi ». Ceux qui souffrent le martyr sur un lit d'hôpital sont
des malades imaginaires, c'est bien connu. Peut-être n'a-t-elle pas
lu Molière. Elle y aurait aussi découvert les « Précieuses
Ridicules ». La caractéristique d'une « précieuse » est de jacasser
sur des expériences qu'elle ignore. MTB commet les erreurs
épistémologiques de base en opposant subjectivité et réalité. Un peu
de littérature scientifique lui serait d'un grand secours, en
particulier sur les syllogismes et autres raisonnements circulaires.
Son catalogue de témoignages disparates auxquels elle ne croit pas
(au nom de quoi ?) n'est accompagné d'aucune analyse sérieuse,
d'aucun début de solution. Se drapant d'une supposée probité
intellectuelle et évitant de manger de ce pain-là, elle s'acharne à
ne voir dans les abductions qu'un prolongement de notre capacité
créative, évitant soigneusement de mettre l'accent sur
l'extraordinaire cohérence factuelle des expériences rapportées. Une
véritable escroquerie morale. C'est du reste l'avis d'un ufologue,
bien connu pour ses enquêtes méticuleuses, qui me confia son
aversion pour la malhonnêteté intellectuelle de la « diva ».
Ne cherche-t-elle pas dans son ouvrage à démasquer inlassablement la
supercherie chez des gens qui l'ont accueilli avec gentillesse et
bonne foi ? Des gens qui ne lui ont rien demandé ? Marie-Thérèse de
Brosses semble voir chez les autres les traits de caractère qu'elle
possède : manque d'honnêteté, d'humanité et de spontanéité.
Attribuer aux autres ses propres travers est la base de la
psychologie, celle dont elle prétend faire usage pour décrypter
l'énigme, comme si les mystères du cerveau humain et de l'espace-
temps étaient définitivement résolus. A sa décharge, Marie-Thérèse
de Brosses n'a rien d'une scientifique.
Même si son livre n'est qu'une longue compilation de faits
mystérieux sans début de solution, ce n'est pas à Marie-thérèse de
Brosses que j'apprendrai la multitude de situations qu'un homme peut
connaître en matière d'embarquement à bord d'un vaisseau spatial, ni
même sur la réalité du remote viewing (voyage de conscience) que
j'ai expliqué de long en large dans un article. J'ai également
expliqué que je ne pratiquais pas le channeling ! Comment Marie-
Thérèse de Brosses peut-elle confondre ces deux types
d'expériences ? En tant que journaliste, elle ne peut avoir ignoré
ce que j'ai écrit.
Comment et pourquoi l'auteur de l'article « la fin d'une imposture :
pour en finir avec l'affaire Eric Julien » n'a-t-il entendu qu'une
seule version des faits dans cette simple et unique affaire alors
qu'elle a dû rencontrer plusieurs centaines de personnes, annonce la
quatrième de couverture de son dernier livre, pour se faire une
idée « juste, rigoureuse et intransigeante » de la réalité du
phénomène ovni dans plusieurs affaires différentes ? Pourquoi ne pas
mettre un point d'interrogation au titre de son article alors
qu'elle ne m'a jamais croisé du regard ? Pourquoi se contenter de
propos qui ne sont pas les miens ? S'il fut si facile d'intercepter
mes messages électroniques comme l'auteur l'indique, mon adresse
email restant toujours active (curieux pour un « imposteur » qui
veut se cacher), pourquoi ne pas s'adresser à la bonne personne ?
Pourquoi tant de subjectivité et de propos tendancieux dans un
article visant quelqu'un qu'il était facile de contacter ? En
général, lorsqu'on fait une enquête n'interroge-t-on pas toutes les
parties ?
Ce manque de probité et de professionnalisme ne cachent-ils pas
quelque chose ? A-t-elle été instrumentalisée à son insu par une
diaspora qui noyaute l'ufologie francophone ? A moins que ses
enquêtes déclarées rigoureuses ne le sont pas autant qu'on veut
l'affirmer. Pourquoi ne mentionne-t-elle pas mon expérience de
contrôleur aérien, de pilote professionnel, de chef d'escale, de
cadre d'exploitation d'aéroport ? Ou mes observations d'ovnis ? Ou
mes longs courriers de réflexion scientifique et philosophique ? Ou
mes controverses ? Ou l'injuste censure que j'ai subie ? Cela
jetterait-il un doute à ses dires ?
A-t-elle été l'objet de menaces ou de pressions pour qu'à ce point
elle ait travesti la réalité et omis de mentionner des faits ? Car
il n'y a aucun fait dans son article, juste des interprétations de
situations, des procès d'intention, mais surtout une incompétence
manifeste. Il serait fastidieux de faire un inventaire exhaustif des
propos dévoyés, voire mensongers de Marie-Thérèse de Brosses. Une
chose est sûre, personne n'a jamais fait d'investigation sérieuse.
Dans le cas contraire, un enquêteur aurait appris que :
- Le Référendum mondial se poursuit sur et en-dehors
d'Internet. La date de réception du message (6 septembre 2003) était
annoncée par un cercle de culture réalisé en 1995. Des organismes de
renseignement de divers pays suivent de près la progression du
référendum (données fournies par Estat).
- Il n'y a eu aucun plagiat de scientifiques russes. Mon
accusateur lui-même est revenu publiquement en mars 2005 sur cette
hypothèse après avoir lu mon ouvrage la Science des Extraterrestres.
J'ai démontré l'absence de plagiat dès novembre 2004 dans un texte
de cinquante pages que certains sites ufologiques francophones ont
préféré ignorer.
- Déjà en 2002, un combat aérien entre ovnis et le survol
stationnaire de ma maison par un vaisseau triangulaire eurent lieu
dans la région d'Arras le même soir.
- La maison et le véhicule ont été plusieurs fois visités
dans la Creuse sans que rien n'ait été dérobé. Ce qui constitue une
menace en soi.
- Plusieurs mois avant ma disparition, des lasers rouges
d'armes de combat ont été aperçus de nuit sur la colline boisée,
proche et déserte faisant face à la maison alors qu'un vaisseau
devait atterrir. L'opération de contact avait donc été annulée.
- J'ai vécu une expérience d'abduction inamicale en
septembre 2003 avec Eve alors qu'un vaisseau avait atterri dans le
champ voisin à notre maison dans la Creuse, terrain que nous avions
nettoyé partiellement à cette fin.
- Je suis allé sur l'île de la Réunion en avion en mars 2004
après avoir vécu, dans la nuit de ma disparition, une expérience de
contact volontaire à bord d'un vaisseau extraterrestre venu dans ce
même champ. Il s'agissait cette fois d'un contact amical. En
revenant, j'ai dû prendre mes papiers pour voyager vers la Réunion.
- Cette disparition en mars 2004, et mon silence qui suivit,
étaient liés à des menaces précises à l'encontre de mes proches
venant de certaines factions extraterrestres et de groupuscules
humains.
- Ma disparition de mars 2004 n'a duré que trois heures de
temps physique équivalentes à une dizaine de jours de temps dilaté
au sens de la Relativité Absolue.
- J'ai expérimenté une initiation au pilotage de vaisseau
sur invitation des extraterrestres sans pour autant en être devenu
pilote confirmé. J'ai d'ailleurs souvent échoué à cet exercice.
Beaucoup d'enfants vivent la même expérience mais ne peuvent être
crus.
- Le gendarme qui a fait l'enquête de ma disparition a
sollicité le SEPRA (Service d'Expertise des Phénomènes Rares
Aérospatiaux, sous tutelle du CNES). Ce dernier ne s'est jamais
déplacé. Il aurait pu trouvé des traces sur les lieux de
l'atterrissage de l'ovni.
- Aucun ufologue n'est venu sur le terrain pour y déceler
des indices alors que l'information était même passée à la radio !
- Une colonne de véhicules militaires, alors qu'il n'y a
habituellement jamais de militaires dans cette impasse, est venu sur
le sentier surplombant la maison une dizaine de jours après
l'événement, et après que le gendarme ait alerté le SEPRA. Les
militaires sont restés dix minutes à scruter le terrain aux
jumelles. Ils ne pouvaient y avoir accès à cause de la hauteur des
ronces entourant la zone d'atterrissage du vaisseau, zone que nous
avions dégagée.
- Alors que j'étais désormais à la Réunion, un hélicoptère
militaire a survolé ma maison à très basse altitude avant d'aller
faire un tour complet au-dessus d'une future aire d'atterrissage de
vaisseau indiquée sur mon ordinateur.
- Le lendemain, un extraterrestre a été aperçu par mon ex-
épouse en sortie astrale à trois mètres au-dessus du jardin,
inspectant l'intérieur de la maison avec un appareil sophistiqué.
- Pendant ce temps, Eve avait eu des visites
d'extraterrestres agresseurs dans la maison de la Creuse. Ses
observations ont été très nettes. Visiblement ils me cherchaient.
Par ailleurs, les perceptions d'Eve sur ma situation dans un
vaisseau ont correspondu aux densités de temps où je me trouvais.
Toute notion de chronologie devient alors sans objet, même pour la
simple relativité restreinte.
J'ai appris, et finalement admis, qu'il était logique que des
articles ou propos arbitraires, voire calomnieux, soient émis par
une frange de la population des experts, pour être repris par la
masse. Un expert à qui l'on dénie l'expertise mettra tout en uvre
pour sauver sa crédibilité, même en usant de méthodes éloignées de
l'éthique. Il suffit de lire ce que certains mettent en exergue -
conspiration, chasse aux sorcières, désinformation - tout en
pratiquant eux-mêmes ce qu'ils condamnent. La crédibilité n'est
qu'affaire de propagande. Beaucoup d'ufologues oublient d'étudier et
se contentent de soigner leur image.
L'article de Marie-Thérèse de Brosses est non seulement truffé de
contrevérités, de vilenies et d'effets de manche, mais il pose de
fait un vrai problème de société. Il est bien plus facile d'accuser
que de connaître et annoncer la vérité. La vérité demande plus
d'efforts, de remises en cause et d'intelligence. Dans sa conclusion
toutefois, un éclair de lucidité sur les méfaits d'Internet vient
frapper l'esprit de la « diva ». Elle indique que « chacun (nda : y
compris elle-même) peut publier n'importe quoi et être cru, sans la
moindre vérification ». Marie-Thérèse de Brosses a fait la
démonstration qu'elle pouvait être crue sans la moindre preuve. Doit-
on l'en féliciter ?
Lorsqu'on veut se débarrasser de son chien, on dit qu'il a la rage.
L'imposture de la mafia ufologique qu'incarne Marie-Thérèse de
Brosses est de préférer la culture à l'expérience. A part ceux qui y
trouvent un plaisir mondain, tiendra-t-elle encore, après cette
réponse, quelqu'un en laisse ? Au-delà de l'humour, le paradigme
extraterrestre annonce un bouleversement de société. Ce qui n'est
visiblement pas du goût de tous. Qui a intérêt à discréditer les
contactés ? Qui cette mutation philosophique et scientifique dérange
le plus ?
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